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La synthèse sur le Cambodge 




Synthèse sur le Cambodge

Synthèse population

17 502 119 habitants (2023)

Langue officielle

Le khmer (famille austro-asiatique)

Langue parlée

La langue cambodgienne, le khmer, est parlée par 85% des habitants. Cette langue non tonale, avec un alphabet dérivé de l’écriture Pallava d’Inde du sud, est singulière dans la région. On retrouve également des langues minoritaires telles que le vietnamien, le cham et le chinois. L’anglais, langue étrangère la plus parlée, est suivi par le français.

Peuple

Les Khmers constituent 85,4% de la population cambodgienne. Viennent ensuite les Vietnamiens (7,4%), les Cham (3,5%), les Chinois (3,2%), les Kui (0,2%) et les Mnong (0,2%). Les Khmers, Vietnamiens et Chinois résident principalement dans la plaine centrale, tandis que les Cham, Kui, Mnong et autres peuples anciens habitent les plateaux de moyenne montagne.

Synthèse sur les religions au Cambodge

Le bouddhisme theravada est la religion dominante. Il s’agit de la « doctrine des Anciens », basée sur un canon en pali, le Tipitaka. Selon cette tradition, il n’y a pas d’intercesseurs surnaturels ou de bodhisattvas, et le monachisme est la voie privilégiée vers l’Éveil. Cependant, pour le fidèle de base, l’offrande est la pratique essentielle. De l’hindouisme du premier au XIVe siècle, il reste de nombreux vestiges à Angkor. Les Cham sont majoritairement musulmans. De petites communautés catholiques khmères et vietnamiennes subsistent, et certaines minorités conservent des rituels animistes.

Synthèse sur les fêtes nationales Cambodgiennes

  • Dimanche 1er janvier : Nouvel An international : 1 jour
  • Samedi 7 janvier : Jour de la victoire sur le génocide : 1 jour
  • Mercredi  8 mars : Journée internationale de la femme : 1 jour
  • Vendredi 14 au dimanche 16 avril : Nouvel An khmer : 3 jour
  • Lundi 1er mai : Fête internationale du travail : 1 jour
  • Jeudi 4 mai : Vesak Bochea : 1 jour
  • Lundi 8 mai : Cérémonie royale de labourage : 1 jour
  • Dimanche 14 mai : Anniversaire du Roi Norodom Sihamoni : 1 jour
  • Samedi 18 juin : Anniversaire de la Reine mère : 1 jour
  • Dimanche 24 septembre : Jour de la Constitution : 1 jour
  • Vendredi 12 au dimanche 15 septembre : Pchum Ben : 3 jours
  • Dimanche 15 octobre : Journée de commémoration du décès du Roi père Norodom Sihanouk
  • Dimanche 29 octobre : Couronnement du Roi Norodom Sihamoni : 1 jour
  • Jeudi 9 novembre : Fête de l’indépendance : 1 jour
  • Dimanche 26 novembre au lundi 28 novembre : Fêtes de l’eau : 3 jours

L’histoire du Cambodge

Synthèse sur l’histoire Cambodgienne

Autour de 3000 avant JC, des migrations depuis la Chine méridionale vers le sud donnent naissance aux peuples Khmers et Môns. S’installant entre les deltas de l’Irrawaddy et du Mékong, ils subissent dès le premier siècle de notre ère l’influence de l’Inde. Un royaume môn, le Fou Nan, émerge dans l’actuel Cambodge et atteint son apogée au Ve siècle. Au VIe siècle, des Khmers hindouistes du royaume de Tchen La détrônent les souverains môns.

Au VIIe siècle

Le roi Jayavarman Ier règne sur la région d’Angkor. Cependant, quelques décennies plus tard, le Tchen La se fragmente, forçant les Khmers à accepter la suzeraineté de Java. En 802, le roi Jayavarman II s’émancipe des Javanais, établit sa capitale au nord du Tonlé Sap et initie d’importants travaux hydrauliques. C’est le début d’un royaume hindouiste, qui grandira dans un climat de conspirations politiques constantes. Le bouddhisme et les Cham apparaissent rapidement comme des acteurs clés. Ces derniers, source d’ennuis pour les Khmers, saccagent Angkor en 1177. Leur soumission ne se fera pas sans résistance.

Au XIIe siècle

Suryavarman II construit Angkor Wat, un temple dédié à Vishnou. Cependant, c’est sous Jayavarman VII, un roi bouddhiste, que l’empire s’étend le plus. C’est aussi sous son règne qu’Angkor Thom devient la nouvelle capitale.

Malheureusement, ce grand empire commence à décliner. A la fin du XIIIe siècle, les Khmers deviennent des tributaires des Mongols. Les Thaïs et les Laos se libèrent de leur contrôle. La tentative de restauration de l’hindouisme échoue.

En 1336, un roturier bouddhiste, surnommé « Grand-père aux concombres sucrés », accède au trône. C’est la fin de l’empire hindouiste classique. À cette époque, le Siam est une puissance majeure. Ils attaquent et prennent Angkor en 1351. Cependant, les Khmers reprennent la ville en 1357.

Six ans plus tard, le Siam s’empare d’Angkor Thom. Les Khmers acceptent de devenir leurs vassaux. Au XIVe siècle, le bouddhisme Theravada s’impose. Prêché par des moines de Sri Lanka, il devient la religion dominante.

Les territoires khmers entrent en décadence. Ils deviennent un enjeu pour leurs puissants voisins. Malgré une courte période de prospérité au XVIe siècle, ils restent sous la suzeraineté siamoise.

Au XVIIe siècle

Les Vietnamiens contestent cette domination. Ils commencent à coloniser le delta du Mékong. Une lutte de pouvoir s’engage entre le Siam et le Vietnam pour la suzeraineté des Khmers.

En 1771, le Vietnam établit un protectorat, qui est contesté par le Siam quatre ans plus tard. Sous le règne de Gia Long (1762-1820), le Vietnam réimpose sa tutelle. Les Khmers, impuissants, perdent plus de provinces à chaque conflit.

Entre 1834 et 1841, le Vietnam impose un ordre mandarinal strict.

En 1845, un massacre des Vietnamiens survient. Le Siam entre en action. Pour éviter un partage définitif, le roi Ang Duong fait appel à la France. Mais c’est un échec.

C’est finalement Norodom 1er qui, en 1863, signe un accord de protectorat avec la France. Cette dernière s’était déjà établie au Vietnam. Elle s’occupe désormais des affaires étrangères, laissant la gestion interne au roi khmer.

La capitale est alors déplacée d’Oudong à Phnom Penh. Le programme de réformes de Norodom 1er se heurte à l’élite confucéenne. En 1904 et 1907, le Siam rend les provinces de Battambang et Siem Reap.

Au sein de l’Union indochinoise, des travaux d’infrastructure sont lancés. Malgré cela, le pays reste en retard en termes de développement régional. En 1940, le Siam attaque le Cambodge. Les provinces récupérées au début du siècle sont de nouveau perdues, malgré une victoire franco-cambodgienne.

C’est à ce moment que Norodom Sihanouk entre en scène. Le régime de Vichy administre le pays jusqu’au 9 mars 1945. Ensuite, les Japonais prennent le contrôle. Sihanouk rejette le protectorat.

Synthèse sur l’indépendance Cambodgienne

Le nationalisme khmer refait surface, profitant aux Japonais. Lors du retour des Français, le roi joue habilement pour obtenir l’indépendance le 9 novembre 1953. Le Cambodge rejoint ensuite les pays non alignés lors de la conférence de Bandung en 1955. Le pays connait une période de paix et de développement jusqu’au milieu des années soixante.

Cependant, le Cambodge sert de base logistique au Viet Cong et se trouve entraîné dans le conflit vietnamien. Sihanouk tente un équilibre précaire et finit par décevoir tout le monde. Il est renversé par le général Lon Nol le 18 mars 1970.

En avril, les Américains et Sud-Vietnamiens attaquent les bases Viet Cong au Cambodge. Les Vietnamiens et les Khmers rouges coincent les forces de Lon Nol. Ces derniers contrôlent 60% du territoire dès 1973. Pendant ce temps, Sihanouk est à Pékin.

Le 17 avril 1975, les Khmers rouges prennent la capitale. Ils la vident immédiatement et instaurent le cauchemar du Kampuchéa démocratique pour quatre ans.

En décembre 1978, l’armée vietnamienne entre au Cambodge et chasse les Khmers rouges. Elle place Heng Samrin à la tête d’une nouvelle République populaire du Cambodge.

Dans les années 80, une coalition hétéroclite, soutenue par les Occidentaux, obtient le retrait des Vietnamiens. L’ONU s’occupe de la réorganisation du pays et du retour des populations.

En 1993, une assemblée législative est élue. Sihanouk redevient roi et Hun Sen renforce sa position de premier ministre. Les Khmers rouges gardent une force militaire offensive jusqu’en 1998.

Synthèse sur la politique Cambodgienne

Le Cambodge est une monarchie constitutionnelle. La succession au trône n’est pas forcément héréditaire. Le Parlement, bicaméral, détient le pouvoir législatif. Il se compose de l’Assemblée nationale (123 membres élus pour 5 ans) et du Sénat (61 membres élus ou nommés pour 5 ans).

Le roi nomme le Premier ministre, qui vient de la majorité parlementaire. Les lois votées par le Parlement doivent recevoir l’approbation du roi. Mais c’est un acte symbolique, car le roi ne peut refuser. Le Conseil suprême de la magistrature est l’organe judiciaire suprême.

Cependant, le Premier ministre Hun Sen contrôle effectivement tout.

Synthèse sur les célébrités Khmères

Norodom Sihanouk (né en 1922) est l’incarnation d’un Cambodge souriant et souple, parfois un peu mièvre, aux prises avec une époque de fer. Ce roi chatoyant, dont l’impuissance semble avoir été la condition politique, mais qui sut se montrer insubmersible, est adulé par son peuple.

Pol Pot (Saloth Sar, 1928-1998) est le plus célèbre des élèves de l’Ecole française de radioélectricité (Paris), mais, hélas, il ne doit pas sa renommée aux compétences qu’il y acquit. Le régime politique qu’il mit en place après 1975 fut une expérience radicale, paranoïaque et meurtrière, dont le Cambodge se serait passé.

Sinn Sisamouth (1935-1975) a décliné le tourment amoureux sur toutes les musiques qui convenaient à son baryton (l’adaptation en khmer de House of the Rising Sun a fait date). Il devint ainsi l’idole des Cambodgiennes sixties. Il devint aussi l’archétype de ce que détestaient les Khmers rouges, qui ont tordu le cou au rossignol…

Preah Bat Ang Duong (1796-1860), roi du Cambodge de 1841 à sa mort. Dans des conditions politiques éprouvantes, il a entamé la modernisation du pays (relance du commerce et de l’éducation) et maintenu un semblant d’autonomie khmère. Il fut aussi un poète et romancier très respecté.

Son Ngoc Than (1908-1977) est le symbole du nationalisme cambodgien, et de ses méandres. Adversaire des Français, ministre de Sihanouk, puis de Lon Nol, pion des Japonais et des Vietnamiens, il s’est heurté aux mêmes blocages que Norodom Sihanouk. Mort en prison au Vietnam.

Synthèse sur le savoir-vivre au Cambodge

Le pourboire est un geste à votre discrétion. Il complète, sans remplacer, le salaire. Dans presque tous les pays, on donne un pourboire pour un bon service. Toutefois, ce n’est pas une obligation. Pour les chauffeurs, nous suggérons l’équivalent de 2,5 euros par jour et par personne. Pour les guides, nous recommandons le double. Dans les hôtels, donnez 1 euro au porteur ou pour un service particulier. Les pourboires au restaurant sont rares.

De manière générale, adaptez votre pourboire à l’économie locale. Les prix d’une bière (2000riels ≈ 0.50$) ou d’un thé (1000 riels ≈ 0,25$), d’un paquet de cigarettes (4000riels ≈ 1$) vous donneront une idée du niveau de vie local. Ces repères vous aideront à estimer le montant du pourboire.

Pour référence, un guide francophone gagne environ 4 900 000 riels (800 euros) par mois, et un chauffeur, la moitié. Évitez cependant d’encourager la mendicité, surtout celle des enfants, en donnant dans la rue. Si vous voulez aider en donnant des fournitures scolaires, des vêtements ou des médicaments, donnez-les au directeur de l’école, au chef du village ou au dispensaire le plus proche. Ils sauront en faire bénéficier les plus démunis.

Synthèse sur le respect au Cambodge

Le salut traditionnel au Cambodge est le Sompiah, où vous vous inclinez avec les mains jointes. Plus votre inclinaison est profonde et vos mains sont élevées, plus vous montrez de respect. Cependant, une poignée de main à la mode occidentale est courante dans les interactions commerciales ou administratives, pour les hommes et les femmes. En public, vous pouvez appeler les gens « Monsieur » ou « Madame » suivis de leur nom. Comme partout en Asie, si vous êtes invité quelque part, apportez un petit cadeau en signe de gratitude. Présentez-le de votre main droite. N’oubliez pas d’enlever vos chaussures avant d’entrer dans une maison khmère.

En général, respectez la pudeur cambodgienne : il est indécent, par exemple, d’être torse nu en public. Pour les Occidentaux, une tenue appropriée est toujours requise, où que vous soyez.

Synthèse sur les temples

À Angkor, les zones rénovées d’Angkor Wat et de Baphûon (Angkor Thom) exigent une tenue respectueuse : les genoux et le haut des bras doivent être couverts (pas de shorts ni de débardeurs). Étant donné que la tête est considérée comme la partie sacrée du corps, il n’est pas approprié de toucher la tête de quelqu’un, même celle d’un enfant. Tout comme en Europe, il n’est pas poli de pointer du doigt les gens. De plus, il est recommandé de demander la permission avant de prendre des photos de personnes.

N’hésitez pas à vous asseoir dans un temple en fin d’après-midi, vers 17h, au moment de la prière des moines. C’est un moment captivant.

Mais faites attention ! Gardez le silence, enlevez vos chaussures (et ne dirigez pas vos pieds vers Bouddha).

Bien sûr, assurez-vous de porter une tenue correcte, avec les bras et les jambes couverts.

Synthèse : offrandes et respect des traditions

Les offrandes : Juste avant l’aube, la procession des moines en robes safran recueillant les offrandes dans les rues est un moment mémorable. Il s’agit du Tak Bat. Les voyageurs doivent veiller à ne pas perturber la cérémonie : restez silencieux et évitez tout contact avec les moines pour ne pas gêner la cérémonie. Si vous ne faites pas d’offrande, qui devrait correspondre à une démarche religieuse personnelle, maintenez une distance respectueuse et adoptez une attitude digne et discrète – évitez les photographies intrusives ou l’utilisation du flash.

Si vous souhaitez faire une offrande, il est préférable d’acheter du riz au marché tôt le matin plutôt que de le faire auprès des revendeurs près de la procession. De nombreux mutilés de guerre se voient contraints à mendier – ne leur refusez pas une aumône. Restez calme, évitez d’élever la voix ou de contredire vos interlocuteurs.

Ne critiquez pas le roi : il est le symbole de l’unité khmère.

Dans un tout autre registre, évitez de tourner en dérision les fantômes et autres revenants : les Khmers y croient fermement.

Rappelez-vous : le temps est élastique. Faites attention ! Même si son usage est encore répandu, la cigarette électronique est officiellement interdite au Cambodge. Si vous ne pouvez pas vous en passer, soyez discret.

Synthèse sur les achat de produits Cambodgiens

Vous pourrez trouver de nombreux articles intéressants sur les marchés de Phnom Penh. L’un des plus populaires est le Krama, une étoffe à carreaux traditionnelle que les Cambodgiens portent de différentes manières : comme une écharpe, un turban, une ceinture, etc. Traditionnellement, les Kramas sont rouges et blancs ou bleus et blancs, mais les tisserands modernes leur donnent désormais des couleurs très variées. Les plus beaux Kramas sont fabriqués en coton et soie (ou en pure soie) et proviennent de la région de Kampong Cham.

D’autres articles que vous pourrez trouver sur les marchés comprennent les bijoux en argent, les sculptures sur bois, les objets en cuivre, les peintures, et les reproductions de statues anciennes.

Le marché Russe est un véritable centre commercial à Phnom Penh, où vous pouvez trouver une grande variété de produits.

Cependant, il est important de rappeler qu’il est strictement interdit d’exporter des antiquités khmères hors du pays. Ne tentez pas de prendre un « caillou » ramassé dans un temple ou une sculpture ancienne achetée à un vendeur occasionnel, car les douaniers de l’aéroport de Siem Reap sont très compétents dans leur travail et feront respecter cette réglementation.

Synthèse sur la cuisine Khmère

La cuisine cambodgienne est une fusion délicieuse de saveurs qui a été influencée par de nombreuses cultures différentes au fil des ans, tout en conservant sa propre identité unique. L’aliment de base est le riz, qui est souvent servi avec une variété de plats principaux.

Un élément central de la cuisine cambodgienne est la soupe, appelée Samla. Une des soupes les plus populaires est la Samla Chapek, qui est une soupe de porc au gingembre.

Le poisson, provenant principalement du lac Tonlé Sap, est également un aliment de base de la cuisine cambodgienne. Il est souvent grillé et servi en morceaux, roulé dans une feuille de laitue ou d’épinard et trempé dans une sauce de poisson fermenté ou de crevette.

Les currys cambodgiens sont également un élément distinctif de la cuisine locale, caractérisés par l’utilisation fréquente du lait de coco. Les salades sont un autre plat commun, souvent parfumées à la coriandre, à la menthe ou au thym citronné, et sont généralement fraîches et légères.

Les nouilles de riz sont également un plat de rue populaire et sont disponibles presque partout.

Quant aux fruits, le durian est particulièrement notable. Malgré son odeur potentiellement forte, voire désagréable pour certains (on la compare souvent à celle du gaz), sa texture soyeuse et son goût unique séduisent de nombreux amateurs.

Synthèse sur les boissons au Cambodge

Votre précaution concernant l’eau du robinet est tout à fait justifiée. En effet, dans de nombreux pays, y compris le Cambodge, l’eau du robinet peut être non potable et contenir des bactéries ou d’autres contaminants qui peuvent causer des problèmes de santé. Par conséquent, il est préférable de boire de l’eau embouteillée qui a été scellée de manière appropriée pour garantir sa sécurité.

Les boissons gazeuses et la bière sont également de bonnes options, la bière locale étant généralement blonde et légère. Cependant, il est important d’éviter les glaçons, car ils sont souvent faits avec de l’eau du robinet et peuvent donc présenter les mêmes risques.

Le thé, très souvent au jasmin, est couramment servi dans tous les restaurants. Le café est également disponible, mais il est généralement fort, sucré et accompagné de lait concentré.

Les jus de fruits frais vendus dans la rue peuvent être attrayants, mais il est important d’être prudent car ils peuvent parfois causer des troubles intestinaux. La sécurité alimentaire peut être variable et il est préférable de s’en tenir à des sources alimentaires que vous savez sûres pour éviter tout risque de maladie.