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Le Cambodge fascine par son patrimoine grand et complexe. Sa culture et son histoire sont également captivantes. Les anciens temples d’Angkor témoignent de cette grandeur. Ils nous ramènent à une époque révolue. Les Cambodgiens luttaient alors pour leur liberté. Ils le faisaient avec honneur, courage et détermination. Les murs de ces temples abritent des bas-reliefs impressionnants. Parmi eux, une représentation d’un art martial cambodgien se démarque. Il s’agit du Bokator. Ce bas-relief est un témoin précieux de l’héritage martial du Cambodge. Il illustre également l’importance du Bokator dans l’histoire et la culture du pays.
Le Cambodge fascine par la grandeur de son patrimoine. Sa culture riche et son histoire captivante continuent d’émerveiller. Les anciens temples d’Angkor en sont des témoins vibrants. Ils ramènent les visiteurs à une époque révolue. À cette époque, les Cambodgiens se battaient pour leur liberté. Ils le faisaient avec courage et détermination. Des bas-reliefs majestueux ornent ces temples. Ils représentent le Bokator, un art martial cambodgien. Cet art témoigne de l’importance de l’héritage martial du Cambodge. Le Bokator a une place prépondérante dans l’histoire et la culture du pays.
Contrairement au kickboxing, le Bokator visait à gagner sur le champ de bataille. Sous l’empire angkorien, les guerriers apprenaient à frapper avec presque toutes les parties de leur corps. Cela incluait les genoux, les mains, les coudes, les pieds, les tibias et la tête. Même les épaules, les hanches, la mâchoire et les doigts pouvaient servir à dominer ou tuer un adversaire. Des armes comme des bâtons de bambou, des lances et même le krama, l’écharpe traditionnelle cambodgienne, étaient aussi utilisées dans le Bokator.
Le maître San Kim Sean a transformé cet art martial en un sport compétitif et une pratique de santé. Le Bokator moderne se focalise moins sur la force physique et plus sur l’esprit. La méditation est fondamentale dans le Bokator, avec trois niveaux : la santé physique, la santé mentale et l’énergie.
Lors des combats, les combattants revêtent l’uniforme traditionnel des anciennes armées khmères. Ils attachent des cordons de soie bleus et rouges, appelés Sangvar day, autour de leurs biceps. Autrefois, on considérait ces cordons comme des porte-bonheur pour augmenter la force, même si aujourd’hui, ils ont principalement une valeur cérémoniale. Certains combattants enroulent encore ces cordons autour de leurs mains et poignets, à l’instar des guerriers d’antan. Cependant, afin de réduire les blessures et l’aspect brutal de cet art martial, les combattants sont encouragés à les remplacer par des gants de boxe. Le port d’un Krama avec le drapeau national sur la tête met en avant l’identité culturelle et la fierté nationale, tandis qu’un autre Krama enroulé autour de la taille marque le niveau de maîtrise des combattants.
Le Bokator utilise un système de ceintures Krama colorées pour indiquer les sept niveaux de maîtrise. Les couleurs vont du blanc au brun pour les cinq premiers niveaux. Chaque couleur correspond à des styles animaux spécifiques. Par exemple, le blanc représente des styles comme le canard, le crabe, le cheval, l’oiseau et le dragon. Le vert symbolise le roi singe, le lion, l’éléphant, l’apsara et le crocodile.
Pour obtenir la ceinture noire, les élèves doivent maîtriser 1000 techniques parmi les 10 000 existantes. Après avoir porté la ceinture noire pendant au moins dix ans, ils peuvent atteindre le niveau le plus élevé, symbolisé par la ceinture jaune. Pour cela, ils doivent maîtriser toutes les 10 000 techniques. Ils doivent aussi montrer un engagement total envers le Bokator et contribuer de manière significative à sa promotion et son développement.
Au Cambodge, le Kun Khmer se distingue par sa proximité physique et son efficacité. Comme la boxe anglaise, il vise à gagner par KO ou par le plus de points. Les boxeurs utilisent leurs poings, pieds, coudes et genoux pour frapper l’adversaire. Les coups à la nuque et à la colonne vertébrale sont interdits.
L’explosivité et le cardio sont essentiels dans le Kun Khmer. Il s’agit d’un sport tonique et rythmé avec beaucoup de sauts. Les combats sont rapides et se composent de cinq rounds de trois minutes.
Outre les compétences physiques, le Kun Khmer exige des qualités mentales. Pour devenir boxeur professionnel, il faut un travail acharné.
Le Kun Khmer et le Muay Thaï partagent des racines communes qui remontent à l’époque de l’Empire khmer. La boxe khmère est profondément ancrée dans la culture cambodgienne et est considérée comme un art noble.
La politique a joué un rôle majeur dans le développement du Kun Khmer. Pendant le protectorat colonial français au XXe siècle, toutes les formes de boxe en Asie du Sud-Est ont été codifiées. Cela a permis de réguler le Kun Khmer et d’organiser des compétitions. Cependant, le Kun Khmer a une longue histoire, pratiqué depuis l’Empire khmer.
Des bas-reliefs du XIe siècle à Angkor montrent des soldats pratiquant le Kun Daï. Cet art du combat à mains nues est un ancêtre du Kun Khmer. À cette époque, l’Empire khmer était l’un des plus puissants de la péninsule indochinoise. Il s’inspirait des pays voisins pour perfectionner ses arts de combat.
Il est important de distinguer le Kun Khmer du Bokator, un autre art martial khmer. Le Bokator est un art martial de défense, tandis que le Kun Khmer est de nature plus offensive.
Le Kun Khmer reste largement méconnu en France et en Europe par rapport au Muay Thaï. Cependant, cela ne signifie pas qu’il n’existe pas de pratique et de développement de ce sport. En France, la Fédération des Arts Martiaux Khmers (FAMK) ainsi que des associations telles que Prodal Boran, Kun Khmer Andresy et Mantis Boxing contribuent à promouvoir la boxe khmère. De nouveaux compétiteurs émergent et participent aux compétitions de Kun Khmer, y compris des rencontres internationales. Un exemple notable est celui de Derek Bidaut, un boxeur professionnel franco-cambodgien.
Synthèse sur le Cambodge Synthèse population 17 502 119 habitants (2023) Langue officielle Le khmer (famille austro-asiatique) Langue parlée La...
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